Le pilote montagnard, formé dans les Alpes ou à proximité du massif alpin, apprend vite à reconnaître les principaux sommets lors de sa formation et en vol, le visuel sur tel ou tel sommet lui permet ensuite de valider un cap ou de préciser sa navigation. Pour le pilote de plaine traversant le même secteur, c’est moins évident. Il lui sera plus difficile de nommer tel ou tel sommet et de les identifier ensuite sur des photos prises en vol. Si la trajectoire pourra être suivie ou retrouvée avec précision une fois au sol, tablette et GPS obligent, mettre un nom sur une montagne va relever du défi. Ou plutôt relevait…
Ce n’est en effet plus le cas grâce à un site permettant d’identifier aisément les sommets survolés ou laissés à l’extrémité d’une aile lors d’une navigation dans tout le [Lire plus…]