Plus le bilan carburant est faible et plus la précision de calcul doit être grande tout en ajoutant des marges…
Cela se passe dans un autre pays mais là n’est pas l’essentiel… Un pilote doit récupérer un Piper PA-28/140 à l’atelier sur un aéroport extérieur. À la prise en compte de l’appareil, le pilote note « 42 litres » indiqués sur le carnet de route, ce qu’il considère comme suffisant pour le court vol (estimé à 20 mn avec la réserve) à destination d’un premier aérodrome pour refaire les pleins avant le retour à l’aérodrome d’attache. On suppose que l’avitaillement est plus simple sur l’aérodrome intermédiaire plutôt que sur l’aéroport de départ. De plus, en refaisant le plein après 20 mn de vol vers l’aérodrome intermédiaire, c’est la possibilité de revenir au terrain d’attache avec le maximum de carburant à bord, l’aérodrome de base n’étant pas toujours bien avitaillé en carburant. [Lire plus…]