De l’importance d’une finale stabilisée à la bonne vitesse…
Si vous lisez les comptes-rendus du BEA, vous n’échapperez pas à des rapports évoquant des sorties de piste longitudinales d’avions à l’atterrissage, généralement après une approche « trop haut, trop vite », deux erreurs dont les effets se multiplient avec un aéronef qui finit « en vrac » en bout de piste si la décision de remettre les gaz n’a pas été prise par le pilote en passant la dernière « porte » avant l’atterrissage, aux alentours de 300 ft/sol. [Lire plus…]