Des us et coutumes dans le domaine de la presse…
Certains ne manquent pas d’air… Quand on prétend « diriger » une revue aéronautique et que l’on manque d’imagination ou de compétence, pour remplir les pages d’actualités, certains pensent qu’il est normal et plus simple de se servir chez les autres. C’est assurément plus rapide… Si des échanges de bons procédés peuvent voir le jour entre titres, cela passe évidemment – simple question de bon sens – par une demande préalable de reprise, qu’il s’agisse d’un texte ou d’une photo. Dans le cas contraire, il s’agit d’un « pillage sauvage »
– procédé contraire aux us et coutumes de la profession. La demande relève de la plus élémentaire des corrections mais cela ne semble pas évident pour tout le monde…
Ainsi, une revue qui m’a licencié sous couvert d’une pseudo « faute grave » – la justice française étant lente, les prudhommes statueront sur ce dossier au plus tôt en mars 2017 après un licencement jugé abusif en mai… 2014 ! – a repris dans son numéro de février, sans autorisation de ma part, une photo publiée sur ce site et bien mentionnée par un copyright
© aeroVFR. Mentionner le copyright à côté de la photo « empruntée », sans autorisation aucune, ne constitue assurément pas une demande officielle de reprise et, dans le cas cité, cela relève de la « récupération ».
Il est vrai que quelques mois après mon licenciement, alors que le site aeroVFR venait d’être lancé, les mêmes avaient benoitement demandé par mail s’ils pouvaient reprendre des informations publiées sur ce blog ! Sans la moindre vergogne… En plus d’une éthique personnelle indéfinissable, ils n’ont vraiment pas les pieds sur terre… ♦♦♦
Neo862 dit
Ils ne doutent de rien…
Neil dit
Ils vous ont licencié mais ils apprécient toujours votre travail apparemment…cherchez l’erreur!
Franck Mée dit
Le « pillage sauvage » n’est pas juste contraire aux us et coutumes de la profession, c’est également une atteinte au droit d’auteur qualifiée de contrefaçon, qui peut entraîner une réparation au civil (et une condamnation au pénal : 3 ans de prison, 300 000 € d’amende, article L335-2 du Code de la propriété intellectuelle). N’hésitez pas à leur envoyer une facture…